Un colibri de métal, ciselé avec délicatesse, suspend son battement d’ailes dans une cage forgée à la main. Son vol s’est arrêté, mais son éclat demeure : plumage aux reflets changeants, corps tendu vers une liberté inaccessible. La cage, fine et épurée, ne retient que l’idée d’un envol impossible — une poésie d’acier et de silence. Cette sculpture invite à contempler l’équilibre fragile entre grâce et enfermement. Écho d’un instant suspendu, elle murmure l’histoire d’un oiseau libre figé dans le rêve.